quelles sont les régions les plus touchées ?
🏙️ Île-de-France : la région la plus affectée
✔️ L'Île-de-France est sans doute la région la plus impactée par les occupations illégales.
✔️ En raison de la forte concentration de logements vacants et de l’absence de régulation dans certains quartiers urbains, de nombreux bâtiments inoccupés sont squattés.
✔️ La proximité de Paris, avec ses zones résidentielles et commerciales de plus en plus abandonnées, en fait une cible idéale pour les squatteurs.
👉 Conclusion : L'Île-de-France reste une des zones les plus problématiques pour la lutte contre le squat en raison de sa densité urbaine et de la grande disponibilité de logements vides.
🏢 Hauts-de-France : un terrain favorable aux squats
✔️ Les Hauts-de-France, notamment dans des villes comme Lille et Amiens, font face à une situation similaire, avec de nombreux immeubles abandonnés et un marché immobilier parfois saturé.
✔️ Cette région est particulièrement touchée par la présence de bâtiments commerciaux inoccupés et de logements sociaux qui, faute d’entretien, sont plus susceptibles d’être investis par des squatteurs.
👉 Conclusion : Les Hauts-de-France sont une autre région sensible au squat en raison de l’abandon de nombreux logements vacants et d’une pression immobilière importante.
☀️ Provence-Alpes-Côte d'Azur : un autre épicentre des squats
✔️ En Provence-Alpes-Côte d'Azur, notamment dans les villes comme Marseille et Nice, le squat est souvent lié à la présence de nombreuses résidences secondaires inoccupées, particulièrement durant la saison hivernale.
✔️ La région bénéficie de conditions climatiques favorables, attirant ainsi des squatteurs, en particulier dans les zones touristiques où des bâtiments restent vides pendant plusieurs mois.
👉 Conclusion : La Provence-Alpes-Côte d'Azur est une région qui, en raison de son attractivité touristique et de l’existence de nombreux logements vacants, subit également une forte pression de squats.